Parlez-moi d' amour Redites-moi des choses tendres Votre beau discours Mon cœur n' est pas las de l' entendre Pourvu que toujours Vous répétiez ces mots suprêmes Je vous aime Vous savez bien Que dans le fond je n' en crois rien Mais cependant je veux encore Écouter ce mot que j' adore Votre voix aux sons caressants Qui le murmure en frémissant Me berce de sa belle histoire Et malgré moi je veux y croire Il est si doux Mon cher trésor, d' être un peu fou La vie est parfois trop amère Si l' on ne croit pas aux chimères Le chagrin est vite apaisé Et se console d' un baiser Du cœur on guérit la blessure Par un serment qui le rassure |
domingo, 17 de agosto de 2008
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5 comentarios:
Museo de Orsay... maravilla del mundo, lugar propicio, cultura por doquier... precioso donde los haya. Y el restaurante, con vistas al Sena para disfrutar de un buen cafe... recuerdos parisinos... ha tenido el privilegio de ir a Paris, mademoiselle?
Sí, lo tuve. Mas no sé si fue privilegio o veneno que consume el alma poco a poco
¿ Qué razón fue causa alguna para que se dé amargura en un lugar como tal ?
No es amargura, solo lo disfruté mucho. Me enamoré de la ciudad.
Saludos mademoiselle...
Si hay veneno y no hay disfrute. Antagonía...
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